Cytoponction thyroidienne échoguidée – examen radiologique Montpellier

Cet examen consiste à recueillir des cellules qui seront analysées par un laboratoire afin de préciser une anomalie thyroïdienne.

L’examen n’est pas douloureux, en tout cas, il est considéré par la plupart des patients comme moins douloureux qu’une prise de sang car les aiguilles utilisées sont très fines.
L’examen est réalisé en position allongé et dure environ 20 minutes.
Il débute par un contrôle échographique de la thyroïde et un repérage du ou des nodules à ponctionner.
Après désinfection de la peau, 2 voire 3 ponctions à l’aiguille fine sont réalisées sur la cible afin d’obtenir un prélèvement « contributif et analysable ».
Il faut compter une dizaine de jours pour avoir les résultats qui sont adressés au médecin prescripteur et au radiologue.

Quels sont les complications de la cytoponction ?
Elle sont très rares. Le plus souvent il s’agit d’un petit hématome qui guérira spontanément.
C’est pour cela qu’il vous sera  demandé d’informer l’équipe médicale si vous prenez des anticoagulants ou de l’aspirine.

Le jour de l’examen, il faut apporter :
– l’ordonnance ou la lettre du médecin.
– les échographies de la thyroïde déjà réalisées.
– et éventuellement votre bilan biologique récent (coagulation, TSH….).

Panoramique dentaire et téléradiographie du crâne – examen radiologique Montpellier nord

C’est une technique utilisant les rayons X.
Notre appareil  est  un appareil numérique à capteur plan Promax de PLANMECA.
– Un panoramique dentaire ou orthopantomogramme est une radiographie dentaire très large, permettant d’avoir une vue d’ensemble des deux rangées de dents, de la mandibule, os du bas de la mâchoire, et du maxillaire, os du haut de la mâchoire.

De nombreuses autres structures de la face sont également vues grâce à cette radiographie. Le panoramique dentaire permet de détecter de nombreuses lésions et atteintes de la face, comme des maladies des dents par exemple mais aussi des fractures de la mâchoire, des tumeurs cancéreuses …

– Le télécrâne est une méthode céphalométrique  reproductible et comparative. On réalise le plus souvent une incidence du crâne de profil permettant aux dentistes des mesures en vue d’un traitement d’orthodontie. C’est donc une projection (rayons X) sur une plaque sensible de tout le crâne sans agrandissement ni déformation.

Réalisation de l’examen :
Le patient est assis avec la tête immobilisée et orientée selon l’incidence par le céphalostat. Le céphalostat est un appareil maintenant la tête fixe grâce à deux bras introduits doucement au fond des conduits auditifs externes.
Il existe quatre positions possibles de la bouche du patient:
. Intercuspidie maximale
. Relation centrée
. Repos physiologique
. Ouverture maximale

 

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Cystographie

Votre médecin a demandé une radiographie de la vessie et de l’urètre (cystographie).

Que faut-il apporter ?
– la lettre de votre médecin ou médecin urologue
– vos radiographies et échographies éventuelles précédentes
– vos cartes d’assuré social et de mutuelle, votre carte vitale
– le produit de contraste que l’on vous a prescrit

Quelle préparation :
Vessie vide
Une préparation peut parfois être nécessaire, il est important de préciser les allergies et traitement en cours lors de la prise de rendez-vous.
Pour la cystographie il vous sera demandé de réaliser un examen cytobactériologique des urines dans les 5 jours qui précèdent l’examen et d’apporter les résultats le jour même. Pensez à effectuer une toilette sérieuse le jour même.
Venir à jeun de 3h pour l’urographie. Prenez cependant votre traitement habituel sauf indication contraire.

Comment se déroule l’examen ?
Vous avez signalé votre arrivée à l’accueil du cabinet pour vous enregistrer.
Une manipulatrice vous prend en charge pour la réalisation de l’examen.
Vous vous allongez sur une table de radiologie.
Le médecin ou la manipulatrice qui réalise l’examen vous précise les vêtements et bijoux qu’il faut enlever.

Après vous avoir fait vider la vessie, vous vous installerez sur la table d’examen. Puis le radiologue mettra en place une petite sonde à ballon gonflable : chez les femmes la sonde sera introduite jusque dans la vessie et chez l’homme elle sera laissée en place au début de l’urètre et maintenue par le petit ballon gonflé, le remplissage se fera de façon rétrograde par perfusion.

 

Urographie intra-veineuse

Sur une radiographie de l’abdomen, seules les silhouettes des deux reins et de la vessie sont visibles. Les voies urinaires excrétrices ne sont pas visualisées non plus car les uretères se confondent dans la masse des tissus mous.
Comme l’urine est radiotransparente, il faut injecter un produit de contraste iodé par la veine pour visualiser l’arbre urinaire. L’élimination du contraste par les reins va permettre d’opacifier la totalité des voies urinaires excrétrices et la vessie. Celles-ci apparaîtront «blanches» sur une radiographie de l’abdomen.
L’urographie intraveineuse consiste donc simplement en de multiples radiographies standards réalisées lors de l’opacification des systèmes pyélo-caliciels des deux reins et des uretères après injection de contraste.

Indications/limitations
Avant l’avènement des scanners hélicoïdaux, l’urographie intraveineuse était utilisée, chez l’adulte, pour mettre en évidence la présence de calculs, de tumeurs ou afin de décrire des malformations ou des variantes anatomiques.
Aujourd’hui, le scanner est devenu l’outil radiologique de référence dans la recherche, le bilan des tumeurs rénales ou urothéliales en raison de performances supérieures à celles de l’urographie intraveineuse.
L’urographie intra veineuse a également perdu son rang dans les investigations des douleurs de type colique néphrétique. Elle est en concurrence avec d’autres techniques radiologiques comme l’échographie, le scanner ou l’IRM. Une majorité de radiologues considère l’uro-scanner comme l’examen de référence à utiliser en cas de colique néphrétique.

Parfois on utilise encore l’urographie intraveineuse pour rechercher la présence d’un calcul urinaire en raison d’une faible disponibilité locale du scanner.

Certains médecins référents investiguent les cas de colique néphrétique selon le schéma suivant:
• Examen initial : échographie et abdomen sans préparation.
• Si discordance radio clinique ou information insuffisante pour la thérapeutique, réalisation d’un examen tomodensitométrique (scanner).
• Si contre indication à une irradiation et/ou allergie aux produits de contraste, obtention d’une imagerie par résonance magnétique (IRM).

Préparation pour une Urographie Intra Veineuse (UIV)
Régime spécial la veille de l’examen: éviter la prise de légumes verts, carottes, salade, fruits.
Prise d’un léger laxatif la veille au soir: deux comprimés de Dulcolax.
A jeun, 3h avant l’examen.
Fournir au radiologue l’ensemble du dossier radiologique et médical (maladies, interventions chirurgicales et traitement médicamenteux).
Éviter tout examen avec opacification du tube digestif (lavement, transit) par un produit de contraste avant une urographie intraveineuse.

Déroulement d’une urographie intra-veineuse (UIV)
L’examen est effectué sous la direction du radiologue. Le technicien sera dans la salle. Le patient est allongé sur le dos sur la table de radiologie. Une voie veineuse est installée généralement au pli du coude. Elle permet l’injection du produit de contraste iodé. La prise de clichés varie grandement selon les indications pour lesquels l’urographie est effectuée. Un examen standard chez l’homme pourrait comprendre un petit cliché sur les 2 reins juste après l’injection de contraste suivi de clichés couvrant l’ensemble de l’abdomen, c’est-à-dire l’intégralité des voies urinaires. Des clichés en oblique peuvent également être effectués. S’il n’y a pas de contre-indications, un dispositif comprimant le bas abdomen est installé et des tomographies de la partie hautes de l’abdomen sont effectuées. Des clichés localisés sur la vessie avant et après miction sont généralement effectuées chez les hommes. Durant la prise de clichés, il est demandé au patient de bloquer sa respiration. Une photo prise chez quelqu’un qui bouge est floue!

UIV cystographie

Transit pharyngo-oesophagien et transit oesophagien

GÉNÉRALITÉS
L’examen vise l’exploration du pharynx et de l’oesophage à l’aide d’un produit de contraste, le baryum, absorbé par voie orale. Le baryum est un liquide blanc et épais qui a un léger goût de vanille. Pour réaliser cet examen, on utilise la radioscopie pour obtenir des images dynamiques de la progression du produit de contraste et des radiographies standard.

DÉROULEMENT DE L’EXAMEN
Il faut être à jeun, sans boire ni manger le jour précédant l’examen pour permettre au produit d’adhérer aux parois. Le manipulateur donne au patient un verre de baryum et positionne le patient sous différentes incidences pour étudier la progression du liquide à l’aide de la radioscopie le long du tube digestif à explorer. Il réalise des radiographies standards dans diverses positions.

Après cet examen,  il est recommandé de boire beaucoup, car le baryum peut causer de la constipation.
Les risques d’une opacification sont faibles, liés à la possibilité de passage du produit dans la trachée et les bronches en cas de fausse route, ou d’une malformation (fistule).

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Infiltrations foraminales

L’infiltration foraminale consiste à injecter un médicament anti-inflammatoire à base de cristaux de cortisone directement au contact du nerf dont l’irritation est responsable de votre douleur. L’injection est effectuée à l’endroit où le nerf sort de la colonne vertébrale, c’est-à-dire dans un canal (ou foramen) situé entre deux vertèbres.
Pourquoi faire cette ponction dans le service de radiologie ?
Le geste sera effectué par radioguidage (télévision), soit radioscopique ou scanographique. Cette technique permet de choisir le bon point d’entrée de l’aiguille et de suivre son trajet.
Le déroulement de l’examen :
Pendant l’infiltration, suivez bien les recommandations du médecin et du technicien. Votre coopération est essentielle : elle contribuera à la rapidité du geste de ponction et diminuera les risques de douleur et de complications. Vous êtes installé à plat ventre sur une table de radiographie ou de scanner.
Après une désinfection très soigneuse de la peau, le médecin procède parfois à une anesthésie locale, puis de plus en plus profonde, jusqu’à l’endroit à traiter. Celle-ci va réduire la sensibilité de la peau et des muscles afin que l’infiltration soit la plus confortable possible pour vous. Sous contrôle radioscopique ou scanographique (télévision), une aiguille est mise en place à proximité du nerf. Une faible quantité de produit de contraste iodé est injectée pour vérifier la bonne position de l’extrémité de l’aiguille, puis le médicament est injecté. Quelques images radiologiques seront prises durant les différentes phases de l’examen.
 

    Infiltrations foraminales

Infiltrations

Une  infiltration est un geste qui se réalise sous le contrôle de la radioscopie, échographie ou scanner. Elle permet par l’intermédiaire d’une aiguille, l’injection d’une substance à but thérapeutique( un dérivé du cortisone, de l’acide hyaluronique le plus souvent) afin d’obtenir un effet direct sur l’organe à soigner.

Pour la réalisation de ces gestes il faut au préalable :
–    une prescription médicale.
–    signaler une prothèse articulaire
–    signaler toute allergie (y compris aux produits de contraste)
–    signaler la prise médicamenteuse d’anticoagulants ou d’anti-agrégants
–    signaler une infection, une fièvre

Après une infiltration, un repos de 24 à 48 heures peut être préconisé. Parfois il vous sera demandé d’être accompagné pour éviter tout désagrément (difficulté à conduire, à se mouvoir…)

Les infiltrations sous contrôle  radioscopique :
cet examen se réalise dans une salle de radiographie. Elle concerne les infiltrations rachidiennes (foraminales, articulaires postérieures), les infiltrations articulaires (arthrographie, visco-supplémentation). Pour se repérer et confirmer la bonne position de l’aiguille on utilise un produit de contraste iodé. Puis nous injectons la substance thérapeutique au niveau de l’organe souhaité.

Les infiltrations sous contrôle échographique :
Cette technique concerne les tissus superficiels comme les tendons, les articulations, les nerfs, les bourses, les calcifications. Dans ce cas il n’y a pas de produit de contraste iodé.
En cas d’épanchement articulaire, on peut réaliser des ponctions à titre thérapeutique et diagnostique.

Les infiltrations sous contrôle scanographique :
Les organes profonds sont repérés et analysés grâce au scanner. Ce dernier est utilisé pour les infiltrations du rachis (épidurales), le pelvis (canal d’Alcock….). Ainsi la progression de l’aiguille sous scanner (sous contrôle 3D) permet d’atteindre en toute sécurité la structure à soigner.

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IRM

L’IRM ou Imagerie par résonance magnétique est l’une des techniques d’imagerie médicale les plus récentes. Elle permet de visualiser avec une grande précision les organes et tissus mous, dans différents plans de l’espace. Il est ainsi possible de déterminer la position exacte de lésions autrement invisibles. Réalisé sous la direction d’un médecin radiologue, cet examen ne provoque aucune irradiation. Il ne fait appel en effet, qu’aux propriétés des champs magnétiques. L’IRM n’utilise pas de rayons X

Pratique de l’IRM
Dans la mesure où l’IRM permet une analyse très fine de la structure des tissus, ses champs d’application sont larges. C’est ainsi que cet examen est particulièrement utilisé dans l’exploration des pathologies cérébrales, rachidiennes, osseuses, articulaires, digestives, gynécologiques, vasculaires et cardiaques.

Déroulement de l’IRM
Avant la réalisation de votre examen, on vous demandera :
– de vous déshabiller (soutien-gorge, ceinture….)
– d’enlever tous les éléments métalliques (bijoux, lunettes, montre, pièces de monnaie, cartes de crédit, téléphone, appareils dentaires et auditifs…)

L’appareil comporte un aimant de grande puissance, d’où le terme « magnétique ». La technique consiste à faire vibrer les noyaux d’hydrogène qui composent les tissus de l’organisme. Ces noyaux renferment en effet des protons qui vont agir comme autant de petits aimants. En vibrant, ils émettent des signaux qui vont être captés par une antenne puis être transformés en images. Dans la salle d’examen, le patient est allongé sur un lit. L’antenne est alors disposée sur la zone à examiner, puis le lit glisse doucement dans le tunnel de l’appareil. L’examen dure généralement de 15 à 20 minutes.

L’IRM est très sensible au moindre mouvement. Il est donc important que nous comptions sur votre  coopération : vous devez rester parfaitement immobile.
Vous aurez une sonnette dans la main en cas de problème pour avertir l’équipe réalisant votre examen et vous serez équipé d’un casque contre le bruit
Parfois une injection de produit de contraste appelé Gadolinium est injecté par voie intra-veineuse.

  Contre indications

Les contre indications principales (liste non exhaustive)
– pace maker, défibrillateur
– stimulateur médullaire, pompe à insuline
– prothèse cochléaire
– dérivation ventriculo-péritonéale
– tous corps étranger métallique (origine accidentelle ou non), intra-oculaire ou intra-cranien
– la grossesse au premier trimestre

  Incidents et effets secondaires
Vous serez placé dans une sorte de tunnel qui donne le sentiment d’être enfermé : c’est ce qu’on appelle la claustrophobie.
Lors de l’injection de produit de contraste (Gadolinium) on peut rencontrer :
– des réactions allergiques tels que l’urticaire. Les graves réactions d’allergie sont exceptionnelles.
– il peut se produire une fuite du produit sous la peau, au point d’injection dans la veine.

 

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Scanner dentaire

Comme pour le scanner, il est indispensable de nous prévenir si vous êtes enceinte ou susceptible de l’être.
C’est un scanner qui permet d’étudier les dents et l’os environnant que l’on appelle os alvéolaire à l’échelle 1 :1.
On étudie aussi bien le maxillaire que la mandibule.
Il n’y a pas d’injection intra-veineuse de produit.
Vous êtes allongé et votre tête est stabilisée par une têtière. Une fois les images acquises, un puissant logiciel de reconstruction permet une analyse 2D et 3D.

Cet examen présente 2 grandes orientations :

– le scanner dentaire pré-implantatoire (non remboursé par la sécurité sociale) :

Cet examen est prescrit le plus souvent par votre spécialiste. Il analyse le site d’implant, l’évaluation quantitative et qualitative de l’os, permet une analyse anatomique du maxillaire et de la mandibule.
Il oriente votre praticien pour l’intégration la plus optimale de l’implant et éventuellement le besoin d’une greffe osseuse.

– le scanner dentaire (remboursé par la sécurité sociale) :

Il est utilisé pour des indications beaucoup plus larges comme une infection dentaire, une lésion osseuse, les dents de sagesse, le canal dentaire où passe le nerf, les racines dentaires.

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Arthroscanner

Cet examen consiste à injecter à l’aide d’une aiguille un liquide iodé à l’intérieur d’une articulation. Des clichés radiographiques permettent ensuite d’étudier le contenu de l’articulation.
Cette technique utilise donc des rayons X.
En matière d’irradiation des patients, aucun risque n’a pu être démontré compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée. Toutefois, des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement. C’est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas.
Avant la réalisation de votre examen on vous demandera :
– si vous avez des antécédents allergiques ou asthmatique
– si vous êtes diabétique
– si vous êtes susceptible d’être enceinte
– les médicaments que vous prenez notamment les anticoagulants

Déroulement de l’examen
L’examen se fait en position allongée.
La peau est d’abord désinfectée. La piqûre est, comme toute piqure, un moment un peu désagréable de l’examen. L’injection du liquide iodé dans l’articulation ne provoque tout au plus que des douleurs modérées et très passagères. Après avoir retiré l’aiguille, votre articulation sera placée dans différentes positions et on prendra plusieurs clichés.
L’arthrographie peut être complétée immédiatement par un scanner de l’articulation (arthro-scanner). Ceci ne nécessitera pas de deuxième piqûre.

Quelles complications pourraient survenir après l’examen ?
Toute intervention sur le corps humain, même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales, comporte un risque :
– Comme pour toute ponction, il existe un très faible risque d’infection. Toutes les précautions nécessaires pour l’éviter sont prises.
– Des douleurs, un gonflement de l’articulation, de la fièvre dans les jours suivant l’examen doivent vous alerter. Il faut alors appeler votre radiologue ou votre médecin traitant sans délai, car il peut être urgent de vous donner un traitement.

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